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Le syndrome prémenstruel, difficile à gérer !

Calmer mon SPM naturellement 

Le syndrome prémenstruel (SPM) peut être très inconfortable, mais il existe des solutions naturelles et des gestes simples pour apaiser les symptômes. Voici quelques conseils pour apaiser nos souffrances lièes aux menstruations :

1. Soins corporels

  • Tisanes apaisantes : Les infusions de camomille, mélisse ou alchémille peuvent calmer les crampes et favoriser la détente.
  • Bains chauds : Ajoute quelques gouttes d’huiles essentielles (lavande, géranium) dans un bain chaud pour détendre les muscles et soulager les tensions.
  • Massage : Un massage doux du bas ventre avec de l’huile d’amande douce mélangée à quelques gouttes d’huile essentielle d’ylang-ylang ou de sauge sclarée peut aider.

2. Alimentation adaptée

  • Favoriser : Les aliments riches en magnésium (amandes, chocolat noir, bananes), en oméga-3 (poisson gras, noix) et en vitamines B6 (lentilles, graines de tournesol) peuvent réduire l’irritabilité et les crampes.
  • Limiter : Les sucres raffinés, la caféine et le sel, qui amplifient la rétention d’eau et les sautes d’humeur.

3. Activité physique

  • Même une activité douce comme le yoga ou la marche peut réduire les tensions, améliorer l’humeur et favoriser la circulation.

4. Pierres naturelles

  • Les pierres comme la pierre de lune, la labradorite, la sélénite ou la cornaline sont réputées pour leurs propriétés équilibrantes et apaisantes pour ce spm. Porter un bijou ou les tenir en méditation peut t’apporter un soutien énergétique.

5. Soutien émotionnel

  • Respiration et méditation : Prends quelques minutes pour respirer profondément ou pratiquer une méditation guidée pour calmer l’esprit.

 

6. Compléments naturels

  • Magnésium : Pour les crampes et la fatigue.
  • Onagre ou bourrache : Les huiles riches en acides gras essentiels équilibrent les hormones.
  • Plantes : Le gattilier est souvent recommandé pour réguler les hormones.

Si les symptômes sont très intenses, il est préférable de consulter un professionnel de santé.

Les pierres pour apaiser les menstruations et le spm

Les hormones en cause du spm 

Le syndrome prémenstruel (SPM) est principalement lié aux fluctuations hormonales qui surviennent dans la deuxième moitié du cycle menstruel, après l'ovulation, et qui peuvent perturber l'équilibre du corps. Voici les hormones en cause :

  • 1. La progestérone; Après l'ovulation, les ovaires produisent de la progestérone pour préparer l’utérus à une éventuelle grossesse.Si les niveaux de progestérone sont trop bas ou s’ils chutent brutalement, cela peut provoquer : des sautes d’humeur, une hypersensibilité émotionnelle, une sensation d’irritabilité.
  • 2. Les œstrogènes augmentent en début de cycle, mais un excès ou un déséquilibre par rapport à la progestérone peut causer : Rétention d’eau. Sensibilité des seins. Migraines.
  • 3. La sérotonine; Les fluctuations hormonales influencent les niveaux de sérotonine, un neurotransmetteur qui régule l’humeur. Une baisse de sérotonine entraîne : -Une fatigue importante. Des envies de sucre ou de gras. Une sensation de tristesse ou de dépression légère.
  • 4. Les prostaglandines; Ces substances sont libérées pour déclencher les contractions de l’utérus. En excès, elles peuvent provoquer : Des douleurs menstruelles ou prémenstruelles, Une inflammation accrue dans le corps, Facteurs aggravants, Certaines habitudes de vie ou conditions peuvent exacerber le déséquilibre hormonal, Stress : Augmente le cortisol, ce qui perturbe les hormones sexuelles. Manque de magnésium ou de vitamine B6 : Ces nutriments sont essentiels pour réguler les hormones et l’humeur. 

Ventre douloureux lors du spm, pourquoi ?

Voici les principales causes :

1. Fluctuations hormonales

  • Augmentation des œstrogènes qui favorisent la rétention d'eau et de sel, ce qui peut entraîner des ballonnements et un gonflement général, y compris au niveau du ventre. Cela affecte aussi le transit intestinal, parfois le ralentissant.
  • Chute de la progestérone : Juste avant les règles, le niveau de progestérone diminue, ce qui peut relâcher les muscles lisses des intestins. Résultat : digestion plus lente, ballonnements et sensation de lourdeur.

2. Gaz intestinaux et digestion lente

  • Les variations hormonales ralentissent souvent le transit, ce qui favorise l'accumulation de gaz dans les intestins et donne cette sensation de ballonnement.
  • Les envies alimentaires fréquentes avant les règles (sucres, aliments gras ou salés) peuvent aussi perturber la digestion et aggraver les symptômes.

3. Inflammation

Certaines femmes ont une réponse inflammatoire plus marquée en période prémenstruelle, favorisée par la libération de prostaglandines. Cela peut provoquer une sensation de lourdeur et de douleur abdominale.

4. Rétention d’eau

Une rétention accrue d’eau et de sel sous l’effet des hormones peut faire gonfler l’abdomen, créant une sensation de ventre tendu et gonflé.

Comment soulager ces symptômes ?

  • Alimentation adaptée

Réduire le sel pour limiter la rétention d’eau.

Favoriser les aliments anti-inflammatoires : légumes verts, curcuma, gingembre.

Éviter les aliments fermentescibles (légumineuses, choux, boissons gazeuses) qui aggravent les gaz.

Inclure des fibres solubles (avoine, pommes) pour un transit régulier sans irritation.

  • Hydratation, Boire beaucoup d’eau pour éliminer l’excès de sel. Les tisanes comme le fenouil ou la menthe poivrée peuvent aider à réduire les ballonnements.
  • Mouvements doux, Une marche ou des étirements favorisent le transit intestinal et réduisent la sensation de lourdeur.
  • Compléments naturels; Magnésium : Réduit les crampes et régule les contractions intestinales.Charbon actif ou probiotiques : En cas de gaz ou de déséquilibre digestif.
  • Apaisement abdominal, Appliquer une bouillotte tiède sur le bas-ventre pour détendre les muscles et calmer la douleur.

Si les symptômes persistent ou sont très gênants, il peut être utile de consulter un professionnel pour vérifier l'absence d'une cause sous-jacente, comme un syndrome de l'intestin irritable ou une endométriose.

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